Tout commence dans un champ de betteraves sucrières semées en mars puis récoltées en septembre-octobre-novembre. La betterave sucrière a une racine de forme conique et enterrée. Pendant sa phase de végétation, c’est une émission continue de feuilles, qui s’organisent en rosette foliaire. La tubérisation va permettre la synthèse de sucre, grâce au rayonnement solaire.
Les betteraves sont récoltées en étant arrachées, puis stockées en bout de champ, avant d’être reprises pour être transportées vers une sucrerie.
À la sucrerie, les betteraves sont lavées afin d’éliminer les impuretés extérieures, telles que la terre, les débris végétaux, les pierres. Elles sont ensuite découpées en fine lanières, appelées cossettes. Le jus sucré est extrait des cossettes par diffusion. Cette opération a pour but de faire passer le sucre des cossettes dans l’eau chauffée. Le jus épuré contient encore 85% d’eau. L’évaporation va permettre d’obtenir un sirop. Ensuite, cela sera la cristallisation. Le sucre cristallisé blanc est tamisé, classé et pesé, puis dirigé vers des ateliers d’ensachage.
Source : actu.fr |
Maxime
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